| Concert Live Sénégal |
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African vibes
Benne Bayfall live
Musiciens : Voix et guitare Ismaila Ndoye,
Saxo et claviers : Vincent Lichtvelde,
Basse : Weissh Akabass,
Guitare électrique : Raffaello Visconti
Djembe, congas et dums : Max Kallista
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" Envie d'été ? De rythmes africains ?
Le son excitant des djembés et des congas,
les voix sombres convaincantes,
les mouvements africains ? "
Le groupe présente ' Benne Bayfall ', un LIVE très fort et authentique de bout en bout !
Fondé au Sénégal en 2011 et finalement arrivé en Belgique après de nombreuses errances et tournées,
ils vous interpréteront Worldfusion (Afro reggae, chanson, salsa, blues, jazz) dans différentes langues et porteront un message de tolérance et de joie de vivre. En phase avec l'actualité par leurs chansons « The World is on Fire»,
« Smile » et « Liberté », ils combattent de manière solidaire les points chauds de notre monde.
2 CD et plus de 300 représentations à leur actif, ils travaillent actuellement à leur nouvel album
avec un line-up de Malines et des environs.
Passionnant!
Habitués des bars, des festivals mondiaux et des centres culturels et même des stades de football
(1ère partie de Youssou Ndour le 30/2/2016 à Mbour, Sénégal.Leur musique vous fera chanter tandis qu'ils jonglent
avec les textes qui relient des informations de fond, parfois drôles, toujours véridiques, sur le Sénégal et l'ensemble de l'Afrique.
Ils sont toujours prêts à se produire à nouveau lors de Park Parties, de festivals, dans des centres culturels
ou des fêtes de rue en Belgique. Avec votre aide, ils peuvent y parvenir !
Consultez leurs page Facebook et chaîne YouTube où vous trouverez des vidéos de performances, des clips et leur bio.
Tout public :
Le vendredi 20 septembre 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
Si le temps le permet, profitez de notre petit patio fleuri !
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| Théâtre contemporain |
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Guernica, mi amor
de José Pérez
Interprétation : Myriam Kaminski, Cécile Rigot et Max Atangana
Accompagnement musical à la guitare : Manuel Carmona
Production : La corde à noeuds
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Avril 1937. En pleine guerre civile espagnole, la petite ville de Guernica est bombardée par l'aviation allemande. C'est jour de marché. Les nazis veulent faire un maximum de morts. Hitler et Franco sèment la terreur au Pays Basque. Dans les semaines qui suivent, Picasso représente le drame dans un tableau poignant, gigantesque, tragique.
Près de 90 après, La Clarencière fait une déclaration d'amour à la ville basque avec ce spectacle renouvelé
de José Perez Guernica, mi amor.
Myriam Kaminski, Cécile Rigot et Max Atangana se baladent à travers les ruines de la ville martyrisée,
portant le chant de l'espoir humain contre le fanatisme, l'intolérance et la haine.
Un air de guitare dénoue ses accords dans le marasme pour donner espoir aux vivants.
Avec des documents sonores d'époque, avec des accents musicaux et avec le lyrisme des trois comédiens,
l'histoire renait pour éviter de la revivre.
Tout public :
Les mercredi 25, vendredi 27 et samedi 28 septembre 2024 à 20h30
Les mercredi 2, vendredi 4 et samedi 5 octobre 2024 à 20h30
Séance supplémentaire le samedi 5 octobre à 17h00
P.A.F. : 25 € - étudiant : 20 €
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| Théâtre contemporain |
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L'étranger
de Albert Camus
Adaptation : Bernard Damien et Raffaele Giuliani
Interprétation : Raffaele Giuliani
Mise en scène : Bernard Damien
Production : Association Caracole/ Théâtre du Grand Midi
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"" Bernard Damien a opté pour une mise en scène minimaliste. Une scène étroite, une chaise plantée au milieu et puis,
un comédien évoluant dans ce petit espace, monologuant un fatalisme absurde sous un spot aussi impitoyable que le soleil algérien du roman.
La scénographie épurée renvoie avec finesse au style neutre et froid de L’Etranger.
A l’image de son narrateur, l’écriture est minimale, délestée de toute fioriture, aussi implacable que l’enchaînement des événements
qui donnent à la justice un coupable en forme de monstre, dont elle est si friande. Raffaele Giuliani endosse le rôle de Meursault,
se fait narrateur étrange de la fatalité qui le conduit à la guillotine, « le hasard », comme dit Raymond, « trop de hasard », selon le procureur général.
Assis droit sur sa chaise, les mains posées stoïquement sur ses genoux, d’une voix transparente et juste,
l’acteur entame son monologue d’une heure et demie, donne directement le ton, plonge le spectateur de l’autre côté,
dans la vase brumeuse de son indifférence : « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas.
J’ai reçu un télégramme de l’asile: «Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués.»
Cela ne veut rien dire. C’était peut-être hier. »
Giuliani incarne à la perfection cet homme venu d’ailleurs, cet étranger à la comédie humaine qui ne joue pas le jeu.
Sans faiblir, il tient le crachoir le temps d’une représentation, mouille la chemise, se fige quand il se fait écho de Meursault,
s’agite lorsqu’il s’agit d’incarner les autres rôles. Car si le roman est écrit à la première personne, il fourmille de dialogues relayés par son narrateur,
traces blanches des rares relations qu’a pu entretenir Meursault avec les personnages secondaires : Raymond, Marie, Pérez, Céleste,
le vieux Salamano, le concierge du home, le procureur de la République, l’avocat…
Tous ces personnages, donc, ne prenant vie que dans le texte détaché du narrateur et dans le corps du seul Giuliani.
Certaines interprétations sont plus heureuses que d’autres, certes, le Procureur en tête, fascinant d’excitation devant ce coupable
tout désigné qui n’a pas pleuré à l’enterrement de sa mère,
mais l’exploit est bien là, de l’incarnation multiple par un seul homme. On aurait pu adapter le roman de Camus en un simple monologue,
récité platement par un comédien. Mais le spectateur n’aurait sans doute pas tenu.
Raffaele Giuliani et Bernard Damien ont pris le pari de faire vivre tous les personnages,
fût-ce par la seule voix de Giuliani, modulée pour chacun des protagonistes, et passant naturellement de l’un à l’autre.
Véritable exercice d’acrobatie que nous offre là le jeune acteur. Et pari réussi pour les deux compères ! Roger SIMONS
Tout public :
Les jeudi 8, vendredi 9 et samedi 10 octobre 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
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| Théâtre poétique musical |
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Quiétude
ou l'art du calme intérieur
D'après l'oeuvre d'Eckaert Tolle
Par Stéphane Stas
Production : Blue Poppy
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L’œuvre d’Eckaert Tolle a inspiré des millions de gens à travers le monde.
« Le pouvoir du moment présent » a profondément marqué les esprits,
nous rendant particulièrement attentifs à l’importance de vivre, autant que possible » ici et maintenant »,
de ne plus se laisser diriger par notre mental et de retrouver ainsi … la quiétude,
cet état bienfaisant de confiance et de calme intérieur.
Stéphane Stas, comme il l’avait déjà fait avec « L’Ame du monde » de Frédéric Lenoir a conçu un moment précieux et original :
à partir des écrits d’Eckhart Tolle et d’œuvres pour piano, voici qu’à la croisée d’une conférence, d’un concert et d’une méditation,
nous invite, tout en douceur, à retrouver notre nature essentielle
Pour ceux qui découvrent Stéphane Stas, retenons principalement qu’il est pianiste, chanteur, auteur, compositeur
et professeur de musique selon sa propre méthode.
D’origine belge, vivant en Valais depuis une vingtaine d’années,
il est interpelé par tout ce qui a trait à la spiritualité et la psychologie
Extrait
"..."
Tout public :
Le jeudi 17 octobre 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
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| Théâtre Seul en scène |
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Lettre au père - Sonate pour acteur
de Franz Kafka
Par : Ghyslain Del Pino
Traduction : François Rey
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Ecrite en 1919, cette longue lettre ne parviendra jamais à son destinataire.
Dans ce qui s’apparente à une plaidoirie, Kafka retrace les relations conflictuelles entretenues avec un père glaçant et castrateur.
Il règle ses comptes avec la figure tutélaire, tout en étant hanté par un sentiment de culpabilité dévorant
- un conflit psychique kafkaïen.
Diplômé du Conservatoire Supérieur de Liège, le comédien Ghyslain Del Pino s’empare de la prose,
du vertige et de l’humour caustique de l’auteur, dans un spectacle minimaliste et radical.
Durant un peu plus d’une heure, il incarne la lettre sur un plateau nu et sous un plein feu,
laissant seule la puissance du texte agir et sculpter le silence, dans un incessant mouvement entre obscurité et lumière.
Si le spectacle touche en plein cœur et met à l’honneur une prose magistrale,
il ouvre aussi les débats autour de questions qui préoccupent nos sociétés contemporaines,
notamment celles relatives au patriarcat.
A partir de 16 ans.
Tout public :
Les vendredi 15 et samedi 16 novembre 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 € -
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| Théâtre d'improvisation |
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Bruxelles Avenue
de et par la compagnie Crescendo
Interprétation : Adrien Hoppe, Gabrielle de Patoul, Sophie Hoyas, Théophile Indriamihaja
Ou : Catherine Lembrée, Hugo Mezine, Jésica de Salvadore, Sullyvan Gérard
Ou :
Alexandra Ducoux, Sarah Maystadt , Paul Simon, Amandine Everaert
Musicien :
Michel du Berry
Production : Crescendo
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Crescendo présente Bruxelloes Avenue la Comédie Musicale improvisée - " Aller simple pour Broadway, sans billet d'avion !"
La compagnie s'aventure sur les arpèges de la surprise, les notes de l'émotion, l'illusion des harmonies.
4 comedien.ne.s et un musicien improvisent ensemble pour proposer au public une comédie musicale improvisée dans la tradition de Broadway.
Musique, chant et danse se mêlent au théâtre pour mettre en mouvement des histoires extraordinaires, touchantes ou drôles, mais toujours sincères.
Au milieu de l'actualité anxiogène, Crescendo offre au public une parenthése de joie, de légèreté et de féérie au public en créant un monde où tout est possible, dans lequel le héros peut, littéralement ou symboliquement, terrasser les dragons et écarter les montagnes.
Une heure et quart d'accords majeurs et de premier degré assumé,
un véritable "morceau de sucre qui aide la médecine à couler et nous rend la vie plus gaie " !
Les jeudi 21, vendredi 22 et samedi 23 novembre 2024 à 20h30
P.A.F. : 15 € -
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copyright Valérie Detemmerman
www.leverbefou.fr à Avignon