Contes coquins d'Algérie
Texte, interprétation et mise en scène : Fahem Abes
Production : Chouette Compagnie
Dans le cadre du Festival Propulse
Après son succès lors du Festival Off d'Avignon 2012 au théâtre Le Verbe Fou,
Fahem Abes nous revient uniquement pour deux représentations.
Ne les ratez pas !
Tantôt récits d’hommes, tantôt récits de femmes,
Ces contes pour adultes nous parlent d’amours et de plaisirs.
Ils sont épicés, colorés, drôles, coquins et doux à croquer.
Issues de la tradition orale, ces histoires éclairent nos désirs et nos fantasmes.
Elles nous embarquent dans un voyage amoureux. A travers ces contes coquins c'est une autre Algérie qui se découvre ... Une Algérie suave, drôle, épicée, irrévérencieuse, libre de paroles, chaude, sexuelle, féministe, une Algérie amoureuse ...
Que ces contes coquins existent est une surprise pour de nombreuses personnes et en premier pour les algériens eux mêmes !
Comment ?
Des Contes Coquins d'Algérie ?
Eh oui mesdames et oui messieurs ces contes existent, ils sont issus de la tradition.
Tradition orale dont je suis fier d'être le porteur.
Porter et vivre le partage de cette Algérie là est un réel plaisir.D'origine kabyle Fahem réside à Bruxelles depuis sa plus tendre enfance et s'abreuve à la source vivifiante des contes traditionnels de Kabylie, peuplés d'Ogres, d'Ogresses et de Princesses.
" A chaque fois que je conte, résonnent en moi, les voix de mon père, de ma mère et des Premiers du clan Izaroken,
de la tribu des M’zalen, femmes et hommes libres des montagnes du Djurdura".
Copyright Jean Knepper
Chronique de Soraya Amrani diffusée le 15 février à 19 h sur ARTE BELGIQUE.
Ecoutez Soraya Amrani sur internet www.arte-belgique.be/50dn. (à la 25ème minute)
Presse : Art et Lettres - Cinemaniacs - El Watan - La Marseillaise - L'Est Républicain
Site : www.fahemabes.com
Contact Cie : fabesbel@gmail.com
Tout public : Les mardi 5 et mercredi 6 février 2013 à 20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27
: 1,25 €
|
Celle qui avait une plume
Contes allumés et seuls-en-scène
Spectacle de et par Julie Boitte
Yeux extérieurs : Didier Kowarsky et Mélanie Lamon
Création lumière : Nicolas Olivieron
Production l'asbl Rien de grave
Dans le cadre du Festival Propulse
|
Est-ce qu'elle est vraiment très malade ?
Parce que moi, j'ai l'impression qu'à part avoir un petit grain,
qu'à part avoir une plume,
elle est normale...
Le spectacle en un coup d'oeil
Sur le fil...
Le titre « Celle qui avait une plume » est une expression directement liée à la ville de Tournai (dans le sud-ouest de la Belgique) dont la conteuse-actrice est originaire, et signifie « avoir un grain »...
Y'a t-il une frontière entre les fous et les autres ?
Est-on fou si on a été hospitalisé en psychiatrie ?
Suis-je folle si je « vis dans mon monde» ?
Salvador Dali propose une magnifique réponse à ces questions en disant :
« la différence entre un fou et moi, c'est que moi, je ne suis pas fou » !
Le grain de folie comme supplément d'âme
Comment je peux savoir que le bleu que moi je vois est le même bleu que toi tu vois ? …
L'autre jour, on m'a appelée de derrière le papier peint...
Ce seul-en-scène rassemble des histoires courtes qui évoquent chacune à leur façon la construction d'un rapport particulier à la réalité. A travers des récits de vie collectés, des contes populaires, ou des bribes de texte, la conteuse-actrice emmène le public dans sa propre folie, changeant brusquement d'attitude, jouant avec la langue, disant des vérités avec désinvolture...
Le lien tissé avec le public pose la question de la respectabilité de la réalité de chacun, quel qu'il soit, allumé ou pas...
|
|
EN COURS |
|
L'Ivresse du boudoir
D'après les textes de : Alfred de Musset,
Donatien Alphonse marquis de Sade,
Anne-Joséphe Théroigne de Méricourt
et Ovide
Interprétation : Iris Christidis, Olivier Gardenal et Elodie Vandenplas
Adaptation et Mise en scène : Bernard Lefrancq
Production : Théâtres d'Une Pièce et Théâtre Littéraire de la Clarencière
|
Après un franc succès tant public qu'auprès de la presse lors du Festival Off d'Avignon 2012 au Théâtre Le Verbe Fou,
le spectacle vient à la rencontre et à la conquête du public belge !
Allons ! Vive l'Amour que l'ivresse accompagne ! Alfred de Musset
A l'orée de textes d'auteurs de facture classique en prose ou en poésie, le metteur en scène s'est permis la fantaisie d'intégrer d'autres auteurs de même facture qu'il s'agisse d'écrits ou de chansons polissonnes.
La qualité littéraire est toujours présente et tisse tout au long de ce spectacle un fil rouge fait de croustillance, de moments mutins mais également de tendresse et d'humour.
Au coeur d'un univers coquin les comédiens enthousiastes virevoltent dans leurs atours d'époque et la jolie bourse fraichement cousue de la jeune mariée permet de s'évader de moments sages pour vous emporter dans un jeu de séduction qui ravira vos yeux et vos sens.
Découvrez le paradoxe entre les textes poétiques de Musset et ceux, décadents, du célèbre marquis de Sade.
Et poutant sans aucune vulgarité de jeu les textes sensuels ajouteront au plaisir de la découverte de cette promenade littéraire et amoureuse.
Confronter ces deux univers, il fallait l'oser !!
Lien vers quelques séquences du spectacle: http://
Les mercredi 13, jeudi 14, vendredi 15 et samedi 16 Février 2013
Les mercredi 20, jeudi 21, vendredi 22 et samedi 23 février
à 20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27
: 1,25 €
|
|
Théâtre musical |
|
|
|
Le Cabaret du Chat Noir
Interprétation : Laurence Briand, Maya Boelpaepe et Alexis Van Stratum
Mise en scène : Rosalie Vandepoortaele
|
Les textes du chat noir ont fait partie des stimuli qui ont motivé ma formation poétique. Depuis lors, ils ont gardé pour moi une saveur particulièrement sentimentale. C'est pourquoi, lorsque Maya et Laurence m'ont proposé de mettre sur pieds un spectacle littéraire, Le Chat Noir s'imposait comme un choix évident. Ces textes sont notamment les témoins de la période dite de "la belle époque", période de progrès technologique fulgurant, de stabilité apparente, d'une société en quête de divertissement. Il était intéressant dès lors de se pencher sur les similitudes de cette époque avec celle que nous vivons actuellement et de dépoussiérer les textes du Chat Noir en remettant au goût du jour ses notes d'humour noir, de légèreté, de drame et de tristesse. Replonger dans l'atmosphère des cafés-concerts et de leurs couleurs où se mêlent chants et textes et susciter auprès du spectateur un questionnement sur les rapports entre ces deux époques sans jamais apporter la moindre réponse, voilà le pari de ce projet.
Un spectacle dans l'air du temps !
Rosalie Vandepoortaele.
Les poètes du Chat noir sont assez proches de notre époque car finalement les préoccupations n'ont pas vraiment changé au fil des siècles. La culture, l'amusement, la fête sont des moyens d'oublier un peu les soucis du quotidien et les désagréments de la vie. La distraction et le besoin de s'enivrer n'y sont pas étrangers. Bref, ce spectacle se veut à la fois moderne mais néanmoins ancré dans une sphère particulière !
HISTORIQUE DU CHAT NOIR
Le Chat noir fut l'un des premiers cabarets artistiques. Il fut créé en1881 par Rodolphe Salis à Montmartre. Ce café eut un grand succès et fut fréquenté par des personnalités de l'époque tels que Alphonse Allais, Jean Richepin, Aristide Bruant,...
" Il rassemblait tout Paris et fut un lieu de création de divertissement et de spectacle devenu mythique
aujourd'hui. Les poèmes et les chansons qui y étaient interprétées ont permis de rassembler des personnes autour de conversations populaires " Cette période de création de différents cabaret en France est appelée la Belle-époque. Pour assurer la promotion du Cabaret son créateur créa la revue hebdomadaire du chat noir qui incarnait à merveille l'esprit «fin de siècle»
" Ce cabaret était un lieu d'évasion pour tous ses clients. Mais il dû fermer en 1897 en raison de la crise économique qui faisait rage.
Revue du chat Noir du 1er septembre 1888
|
Public adulte :
Les mercredi 6, jeudi 7, vendredi 8 et samedi 9 mars 2013 à
20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €-
Article 27 : 1,25 € |
|
Georges Dandin
ou Le mari confondu
De : Molière
Interprétation : Jean Knepper, Harmonie Rouffiange, Pascal Dandoy, Héloïse Gimondi, Frédéric Mosbeux et François Ma Kanga
Mise en scène : Marie Lesueur
|
...
La genèse
L'idée de ce projet est née de l'envie de monter l'une des pièces les plus noires de Molière. Elle nous offre un terrain de jeu très vaste, dans une langue juste, sincère et riche. Cette pièce nous entraîne dans un monde à la fois onirique et dérangeant, elle jongle entre moeurs archaïques et thèmes pertinents. Le texte nous fournit une véritable béquille par sa construction rythmée et musicale, qui aborde de façon rare la question de la violence inhérente à la société de consommation, et de la fragilité de toute existence. Il m'est apparu comme impératif d'oeuvrer à ce projet et de présenter cette pièce méconnue de Molière si proche des questionnements perpétuels de l'être humain.
«L'art est un cheminement studieux vers une école buissonnière.» Robert Mallet
George Dandin, riche paysan, a épousé Angélique, fille de petits nobles de province désargentés : Monsieur et Madame De Sotenville. Angélique qui subit ce mariage est courtisée par Clitandre, gentilhomme, petit noble, de Paris, qui lui apporte l'espérance d'une vie plus conforme à ses aspirations.
Grâce à la complicité de sa servante Claudine, et à celle de Lubin, un benêt miséreux qui se met au service de monsieur le vicomte pour quelques sous, elle réussit à berner son mari et à rencontrer son amant. Pendant les trois actes, Dandin essaye de la confondre afin de sauvegarder son honneur et de prouver sa bonne foi avec le concours de Colin, le domestique du foyer. Cette pièce est un développement d'une de ses farces en un acte : la jalousie du barbouillé écrite une dizaine d'année auparavant. Mis à part qu'il y a
inséré une dimension tragique qui n'apparaissait pas au préalable.
Tout public :
Les mercredi 13, jeudi 14, vendredi 15, samedi 16,
Les mardi 19, mercredi 20, jeudi 21 et vendredi 22
mars 2013 à 20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27
: 1,25 €
|
|
Le mot et la chose
de : L'abbé de Latteignant, Boccace, Baudelaire, Rimbaud, Laurent Gaudé, Alain Robbe Grillet et Alina Reyes.
Interprétation : Manuele Molinas
Mise en scène : Bernard lefrancq
Co-production : Cie Fantasio/Verbe Fou/Clarencière
|
Depuis les contes grivois du XIVe siècle à la littérature érotique contemporaine en passant par la poésie, nous vous proposons un doux voyage au pays de la licence. Un voyage polisson aux rives de la sensualité. Légers ou sérieux, tous ces textes ont un point commun, leur qualité littéraire.
Un montage de textes servis par l'interprétation tout en nuances de Manuelle Molinas. Tendre ou sauvage, toujours touchante, le metteur en scène Bernard Lefrancq tisse autour de la comédienne un cocon de clairs obscurs, où le corps plus que se montrer s'esquisse, où la voix se fait caresse.
Un instant de sensualité feutrée où se croisent poésie, philosophie et libertinage. De l'abbé de Latteignant à Alina Reyes, un parcours où l'émoi des sens se conjugue avec le plaisir de l'esprit.
|
Tout public : Les vendredi 29 et samedi 30 mars 2013 à 20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27
: 1,25 €
|
|