Théâtre classique |
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Candide
de Voltaire
Adaptation et Interprétation : Bernard Damien
Mise en scène : Claude Enuset
Co-Production : Théâtre sous les étoiles de Provence et Théâtre du Grand Midi
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Un conte cruel, humaniste, désabusé, philosophique, optimiste,...
Chassé du prétendu paradis originel que représente le château de monsieur le Baron, CANDIDE se retrouve, en plein hiver allemand, dans un complet désarroi. Il devient alors la proie facile des recruteurs en mal de conscrits.
L'éternel chef-d'oeuvre du plus impertinent des libres penseurs du Siècle des Lumières,
est porté à la scène tambour battant : pas de plantes qui dorment ou qui enivrent dans le jardin cultivé par Candide, uniquement des plantes qui stimulent notre imagination, qui invitent à réfléchir et à agir...
A l'aube de ce Troisième Millénaire où tant de voix ne cherchent qu'à anesthésier ou à fanatiser,
VOLTAIRE demeure décidément, de tous nos grands penseurs classiques, l'un des plus drôles et des plus clairvoyants, des plus immédiatement proches de nous, des plus toniques.
Le choix délibéré de présenter le spectacle avec un seul acteur est la résultante d'une longue et fructueuse complicité entre un metteur en scène et un acteur. Qui plus est, le choix d'une voix unique nous permet de renouer avec la grande tradition des épopées contées au coin du feu, où conteurs et personnages ne font plus qu'un(ou cent!). Cette singularité du personnage privilégie également une évidente concentration sur l'écoute de ce texte éminemment théâtral dans la conception même du chef de son auteur...
C’est une superbe performance d’acteur qui a ouvert la saison culturelle.
La salle était comble pour assister au Candide de Voltaire, revu, actualisé et brillamment interprété par Bernard DAMIEN
Seul sur scène pendant près de deux heures l’acteur en un geste,
une expression ou un accent emporte le public de Wesphalie à Constantinople en passant par la Bulgarie ou Venise.
Bernad Damien incarne tous les rôles : un accessoire, un éventail ou un outil et le voilà Cunégonde,
Pangloss ou gouverneur argentin. Nul relâchement ni pour l’acteur ni pour un public ravi.
Une ovation a salué la performance de l'acteur ! INFO PROVENCE
Tout public :
Les jeudi 11, vendredi 12 et samedi 13 avril 2024 à 20h30
scéances scolaires disponibles les mardi 9 et mercredi 10 sur réservation
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
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Théâtre musical |
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La voix des siècles
Victor Hugo - Louis Aragon
Adaptation et interprétation de Gérard-André
Regard extérieur : Amélie Prévost et Yves Prunier
Orchestrations et arrangements : Patrick Vasori
Production : Théâtre de la Closerie
« Je peux me consumer de tout l’enfer du monde
Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage »
Louis Aragon
« Mon cœur à plus d’amour que vous n’avez d’oubli… »
Victor Hugo
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Divertissement ? Exaltation des mots ?
Récital ? Fantaisie musicale ?
Hommage aux grands hommes ?
Tout à la fois et plus encore…
Aboutissement d'un travail de plus de quinze années, cette création produite et interprétée par Gérard-André est un spectacle hors normes
croisant textes et chansons d'après une sélection des œuvres des deux poètes et écrivains majeurs du XIXème et XXème siècle.
Dix neuf poèmes chantés (musique de Gérard-André pour dix sept d'entre eux, un par Patrick Vasori, un par le guitariste Philippe Darees).
Neuf textes dits, mêlant la puissance visionnaire, la force littéraire, la modernité d'Hugo et d'Aragon.
Conseillé par le comédien et metteur en scène Yves Prunier, et par Amélie Prévost, comédienne et metteur en, scène,
pour l’adaptation 2018 Gérard-André relève un défi à la hauteur de son admiration pour le génie de ses maîtres privilégiés.
Un exceptionnel florilège qui voyage dans l'univers étrangement proche des deux auteurs en trouvant l'accord subtil entre parole,
musique, mise en espace et mise en lumière.
Qui croira reconnaître l'un pourra fort bien se retrouver saisi par l'autre dans le dialogue installé entre les deux voix magistrales
auxquelles Gérard-André prête sa chair et son souffle avec inspiration, ferveur et conviction.
Les orchestrations et les arrangements de Patrick Vasori sont complices des textes dits et chantés.
Un rendez-vous d'une heure trente, inoubliable.
Tout public : Les mercredi 17, jeudi 18, vendredi 19 et samedi 20 avril 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
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Théâtre création |
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AVANT PREMIERES FESTIVAL OFF A AVIGNON
Théâtre Le Verbe Fou
Avignon
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Du 24 au 27 avril 2024
EN COURS
BOBIN/LEPREST
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Tout public :
Les mardi 23, mercredi 24, jeudi 25, vendredi 26 et samedi 27 avril 2024
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
Théâtre contemporain |
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Pas de deux
De Hugo Claus
Traduction : Alain Van Crugten
Par Nathalie Stas, Bernard Sens et Louis Marbaix
Mise en scène : Sandrine Bonjean
Co-Production : Théâtre sous les Etoiles de Provence/Cie Divas/Ateliers du Rêve
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Avec sa pièce Pas de Deux, Hugo Claus nous entraîne dans un univers clos : celui des répétitions d’un spectacle sur une scène de théâtre vide,
en attente de ses décors et de ses lumières pour – enfin ! – ‘vivre’ devant le Public.
Deux acteurs – deux ‘pointures’ comme on dit ! – s’affrontent durant ces répétitions : ils furent amants, ils se sont aimés passionnément, brutalement.
Ils se sont quittés tout aussi passionnément et tout aussi brutalement.
Pour l’heure, ils se retrouvent sur scène pour élaborer un spectacle. Du temps a passé, mais le temps cicatrise-t-il toutes les blessures ?
Le spectateur assiste alors à ce qu’on appelle ‘du théâtre dans le théâtre’, mêlant leurs souvenirs et leurs répliques, les deux artistes
– devrait-on dire plutôt : les deux adversaires ? – fracturent leur vie réelle au rythme de la construction d’une vie imaginaire …
Avec l’ humour féroce d’un clown blanc et le scalpel acéré d’un chirurgien, Hugo Claus nous entraîne dans son univers où la vie finit toujours par triompher…
Mais à quel prix ? La suite sur scène … ou dans la vie … ou … ?
Considéré comme l’un des romanciers belges les plus talentueux de son époque, dont l’oeuvre connaît une ampleur internationale, Hugo Claus,
cité plusieurs fois pour le prix Nobel de littérature, se définit lui-même comme un « flamingant francophile ».
Il est surtout le critique du traditionalisme et du provincialisme de la société flamande, tout en portant à l’universel l’évocation de la médiocrité.
Si son style puise autant son inspiration dans les grands mythes et les classiques littéraires,
il ne recule pas pour autant devant le burlesque et un humour des plus féroces.
Les jeudi 16 et vendredi 17 mai 2024 à 20h30
P.A.F. : 20 € - étudiant : 15 €
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