La BelloneLe théâtre de la Clarencière sera présent à la journée de la Maison de la Bellone,

rue de Flandres - 1000 Bruxelles
Dimanche 31 août de 12h00 à 18h00

Invitation à la 2ème édition "Caravansérail du spectacle" :

En effet, dans la foulée de l'évènement " Théâtres Nomades ", organisé par la Ville de Bruxelles en août prochain, plusieurs lieux de spectacle de
la Ville de Bruxelles organisent une journée porte ouverte " Journée des Théâtres ", le 31 août. Cette journée vise à promouvoir les arts de la
scène auprès d'un large public.
A cette occasion, La Bellone propose la 2ème édition de son « Caravansérail du spectacle » le dimanche 31 août de 12h à 18h.
Le principe est simple et vise à ce que les acteurs de la scène culturelle bruxelloise aient l'opportunité de présenter de manière simple et immédiate leur saison théâtrale à venir.

Au plaisir de vous rencontrer nombreux à cette après-midi festive.

La Clarenciere
La Clarenciere


Théâtre
*** Création ***
Presse

***** Saison 2008-2009 *****
Vénus & Un drame, trois acteurs

de Michel de Ghelderode
Avec : Jean-François Brion, Florent Minotti, Frédérique Panadéro, Philippe Sassoye et Renaud Van Camp
Production : Théâtre de la Clarencière

Ghelderode à l'honneur de la Clarencière !

Deux courtes pièces du plus flamand des auteurs francophones ouvrent la saison du théâtre littéraire avec un éclat de rire magistral...
Créées avec succès au Festival Off d'Avignon et retenues parmi les 9 spectacles incontournables de ce cru 2008, ces deux pièces saluent l'esprit singulier de leur auteur et s'imposent tant elles nous confrontent avec un des apports essentiels de cet auteur belge de renommée internationale : le jeu sur la forme théâtrale. Jamais la farce n'aura côtoyé le drame d'aussi près. Jamais les turpitudes humaines n'auront été révélées avec autant d'humour et de dérision. Ghelderode interpelle toujours autant et trouve une
place de choix dans un monde contemporain marqué par la suprématie de l'image...

Le Théâtre Littéraire de la Clarencière a jeté son dévolu sur 2 courtes pièces de cet auteur belge majeur.
Bernard Lefrancq signe la mise en scène risquée de ces deux œuvres peu jouées de Ghelderode après s'être illustré à de nombreuses reprises comme comédien
ou metteur en scène. Il collabore régulièrement à la Revue annuelle du Théâtre des Galeries dont il est un pilier. Il est également un habitué du Théâtre
littéraire de la Clarencière.

Le point de vue du metteur en scène :
Albert Einstein a dit que l'imagination était plus importante que le savoir. Dans les deux pièces qui nous occupent, c'est l'imagination qui se retrouve au pouvoir. Dans ce travail, l'essentiel de la mise en scène est basé sur la dualité mais aussi l'interpénétration entre l'univers réel et théâtral. Un des objectifs des deux pièces est de brouiller les repères entre les deux. Bernard Lefrancq

Ce qui la presse en dit :
« Incroyablement modernes, ces deux pièces jouent sur l'imaginaire. Avec son style à la fois truculent et tragique, servi par la mise en scène géniale et
déjantée de Bernard Lefrancq, Ghelderode que Cocteau qualifiait de diamant noir, montre la face cachée du théâtre. » A.C. Pour la Dauphiné libéré,
juillet 2008

« La compagnie Théâtre littéraire de la Clarencière avait pour objectif de nous faire redécouvrir un grand auteur belge. C'est une réussite. » I.D., pour
les Trois coups, juillet 2008

« Bernard Lefrancq n'a pas manqué de souligner dans sa mise en scène, les éléments 'théâtre dans le théâtre ' injectés par Ghelderode dans ses deux
petites pièces. Tout comme il a insufflé à ses acteurs la volonté de développer un jeu proche de la farce comme l'oeuvre de Ghelderode l'exige. »
E.L pour le Petit Plus, juin 2008


Dans Un Drame, trois acteurs, Ghelderode nous introduit sur la scène d'un théâtre où un auteur, désespéré par le manque de succès de la pièce qu'il a écrit, s'en prend aux trois comédiens qui la jouent. Il leur reproche leur manque de conviction. Empétrés dans des difficultés personnelles qui font écho au drame qu'ils interprètent, ces acteurs décident de profiter de leur dernière représentation pour tirer un trait définitif sur leurs problèmes. Mais au final la victime ne sera pas en scène...
Dans ce style à la fois grotesque et cruel qui le caractèrise, Ghelderode nous entraîne dans la face cachée du théâtre, dans les relations complexes qui peuvent se nouer entre les différents protagonistes de la création dans un art où parfois il devient difficile de faire la distinction entre ce qui est joué et ce qui est vécu ...

Venus Venus Venus


Vénus est une autre oeuvre de Ghelderode qui n'a pas été souvent montrée en public. Elle nous conte l'histoire fantastique et inquiétante d'une comédienne qui pour atteindre l'idéal qu'elle veut incarner (La Vénus de Milo) n'hésite pas à se faire découper les bras par un boucher. Malheureusement tout se complique avec l'intervention de son amant, d'un comte manchot et d'un archéologue...

Venus Venus Venus Venus

www.photopro.be

Du 26 septembre au 18 octobre 2008 à 20h30

Scolaires :
du lundi au vendredi à 10h00 - 14h00
P.A.F. : 5 €

Tout public :
Le vendredi 26 septembre 2008

Le samedi 27 septembre 2008 : Fête de la Communauté française de Belgique
Les jeudi 2, vendredi 3, samedi 4 octobre 2008
Les jeudi 9, vendredi 10, samedi 11 octobre 2008
Les jeudi 16, vendredi 17, samedi 18 octobre 2008

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 
Théâtre
*** Création - Accueil ***
Presse

Nous avons tous la même histoire
de Dario Fo et Franca Rame
Avec : Eléna Pérez
Mise en scène : Fabienne Muet

«(…) Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi, cette histoire que c'est toujours la femme qui tombe enceinte et jamais le garçon, je ne l'avale pas ! Je conteste ! C'est une obsession… J'en rêve la nuit : j'ai rêvé que mon homme avait des seins (…) »
Alors que toute sa vie est suspendue à un fil à linge, une femme entreprend le récit extraordinaire de sa condition de Femme Moderne : sorte de marathon entre le préservatif, l'ovule contraceptive, la pilule, l'avortement, et enfin, la maternité.
Tout est bon pour raconter, surtout quand on vit au milieu des casseroles, des bassines, des torchons et des serviettes et qu'on a une furieuse envie d'en faire toute une histoire.
 

Tout public :

Les jeudi 23, vendredi 24, samedi 25 octobre 2008

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 



Théâtre
*** Création - Accueil ***
Presse

Gustave et Antoine
de Marie Vaïana
Avec : Gaëlle Gourvennec et Paola Secret
Mise en scène collective

 


Gustave et AntoineGustave et AntoinePour échapper à l'emprise de sa famille, un jeune garçon, Antoine, décide de troquer son identité contre celle de Gustave, un chien abandonné. Tandis qu'Antoine goûte à la liberté de sa nouvelle vie de chien et part à la quête de son identité propre, Gustave réintègre le cocon familial et fait l'expérience de la violence...
Oscillant entre comique et tragique, "Gustave et Antoine" est un conte surréaliste qui évoque la difficulté de grandir dans les sociétés occidentales où le souci de l'apparence fait la loi. Entre sons et danse, gestes et silence, les deux comédiennes utilisent toutes les ficelles de l'art scénique et endossent tour à tour tous les rôles.


Marie Vaïana a reçu une bourse de la Communauté Française de Belgique pour se rendre en résidence d'écriture à la Chartreuse de Villeneuve-Lez-Avignon.




Tout public :

Les jeudi 13, vendredi 14, samedi 15 novembre 2008 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

Théâtre
*** Création - Accueil ***
Presse

Jeu de réalités

Création de Wendy Piette
Avec : Caroline Escarmelle, Florent Minotti, Jean-Marc Son
Mise en scène : Wendy Piette

 

Jeu de réalitésjeu des réalitésSur scène, deux comédiens répètent pour leur prochaine pièce. Très vite, la vie privée et le jeu s'entremêlent. Le quatrième mur s'effondre. La vrai vie reprend ses droits... mais pour combien de temps ?
Où est le jeu ? Où est la réalité ?
Amour et Rage fusent dans cette mise en abîme théâtrale.

Dans « Jeu de réalités », le texte n’est qu’un prétexte. L’amour est la fondation du jeu entre le réel et la fiction. L’amour passionnel, la Réalité du jeu et le Texte improvisé interviennent comme des personnages allégoriques qui au-delà de toucher tout acteur- actrice remettent en cause les fondements mêmes de toute relation de pouvoir, de jalousie, de méchanceté, d’amour… de place à garder ou à céder.
D’un côté, les dérives du passionnel qui pousse à côtoyer tous les extrêmes.
D’un autre, le voyeurisme malsain – appuyé par une médiatisation de plus en plus importante. Dans une société ou les mots ne parlent plus, une tension brûle en silence. Une tension qui peut faire basculer chacun de nous dans la folie en un instant.…
Et si c’était le plus dément d’entre nous qui avait le pouvoir ?
Des questions ouvertes sans réponse mais ayant au moins le mérite d’être posées pour ouvrir le débat sur scène, dans la salle, dans la voiture,…
 

 

Tout public

Les jeudi 20, vendredi 21, samedi 22 novembre 2008 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

Théâtre
*** Création ***
Presse



Tout public :

Les jeudi 27, vendredi 28, samedi 29 novembre 2008 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €


Contes Zen
*** Création - Accueil***
Presse

Cent bols sur un bâton

Récitant et choix des textes : Eric Parisis
Direction d'acteur : Félicianne Ledoyen
Composition du décor sonore : Alain Pierre

Le bol et le batonL’univers du conte est un jardin prodigieux. Celui du conte dit « zen » en particulier. C’est un lieu magique où se croisent poésie, sagesse universelle et humour subtil. Un vrai miroir de société. De prime abord, on pourrait croire qu’ils appartiennent à une culture trop éloignée de la nôtre. Il n’en est rien. Dans chaque civilisation, la quête de la sagesse (certains disent « Voie ») rejoint une même source originelle, la mémoire et l’inconscient collectif. Seuls changent les décors, les coutumes, les habits. L’essence humaine reste toujours pareille à elle-même face à ses contradictions, ses errances, ses coups d’éclat ou de génie.

Dans le présent spectacle, un comédien-conteur, crâne rasé comme un bonze, flanqué d’attributs très en vogue et d’un habit qui ne fait pas le moine, s’inspire de la tradition millénaire et des contes populaires pour se promener au fil de l’immémoriale sagesse : l’humour, le fantastique, l’insolite, la souffrance causée par l’attachement aux mirages du monde illusoire surgissent au détour des mots. Ces contes, un rien féroces toujours bienveillants, tendrement malicieux, nous ramènent aux réalités de la tragi-comédie humaine dont notre quotidien n’est pas toujours exempt.
De plus, chemin faisant, le conteur s’avère ne pas avoir vraiment l’esprit « zen » car il n’arrive jamais à trouver une assise juste, stable, qui lui donnerait un regain de crédibilité. Un conteur sachant conter ne peut compter que sur… lui-même.


... On ne mange jamais aussi bien que dans un bol qu’on a perdu…
Koan Zen

 

Tout public :

Les jeudi 4, vendredi 5, samedi 6 décembre 2008 à 20h30
Les jeudi 11, vendredi 12, samedi 13 décembre 2008 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

Théâtre Jeune Public
*** Création ***
Presse

L'Ourson qui venait du froid ...
Ou " Quand le réchauffement climatique atteint le coeur des tout petits ".

de Fabienne Govaerts
Avec : Audrey Devos et Thomas Rahir
Mise en scène et réalisation du personnage d'Igor : Tristan Moreau
Assistanat : Magali Genicq
Scénographie, conception et réalisation graphique : Damien Paul Gal
Production : Théâtre de la Clarencière

 

IgorWebPar un matin brumeux, Igor l'Ourson polaire, est repêché sur un îlot flottant de glace tout petit, tout petit ! Il est recueilli par des mariniers. Il a chaud, il a soif, il est perdu ! Il arrive de l'Arctique après un long voyage fatigant. Les mariniers le soignent et l'amènent sur terre. Là, Igor va rencontrer l'insouciante petite écolière Amélie un dimanche matin, jouant dans sa chambrette d'enfant !

S'ensuit alors une longue conversation qui va tisser des liens d'amitié entre l'Ourson et la Fillette et amener une réflexion sur les enjeux du réchauffement climatique et l'espace qu'on souhaite garder pour les générations futures.

Une fable douce qui balaie toutefois la bêtise et la vénalité humaine avec tendresse et humour. Un message pour les générations qui peuvent encore limiter les dégâts et préserver notre si jolie planète !
A consommer en famille, écologiquement...


Tout public :

Les vendredi 19 décembre à 19h30,
Le samedi 20 décembre 2008 à 16h00
Le dimanche 21 décembre 2008 à 18h00
Scolaires : sur demande

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

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Presse
Congés de Noël